L’énergie solaire est l’une des sources d’énergie renouvelable la plus demandée parmi les particuliers ainsi que les entreprises. C’est l’énergie la plus prometteuse pour lutter contre le changement climatique. Elle fait partie des énergies qui suscite l’intérêt de nombreux consommateurs pour aider à l’utilisation d’énergie renouvelable et de pouvoir améliorer la qualité de vie, des consommateurs et de la planète. Elle repose principalement sur les cellules photovoltaïques, ces composants essentiels des panneaux solaires capables de convertir directement la lumière du soleil en électricité. Le fonctionnement de ces cellules repose sur des principes scientifiques fascinants et des matériaux spécifiques, dont les matériaux semi-conducteurs comme le silicium cristallin.
Aujourd’hui, comprendre leur mécanisme et leurs avantages, c’est comprendre comment améliorer et appréhender les enjeux de la transition énergétique, et apporter un impact positif sur l’environnement.
La cellule à homojonction est la forme classique de la cellule photovoltaïque. Elle repose sur l’utilisation d’un même matériau semi-conducteur, le plus souvent du silicium cristallin, pour créer deux zones différentes :
Sous l’effet de la lumière, les électrons sont libérés dans le matériau en générant un courant électrique exploitable.
Les cellules à hétérojonction combinent plusieurs types de matériaux semi-conducteurs pour optimiser les performances. Typiquement, une couche de silicium cristallin est associée à des couches de silicium amorphe. Cette combinaison permet de réduire les pertes d’énergie et d’améliorer le rendement, même en cas de faible ensoleillement. Des cellules avantageuses écologiquement et parfait pour avoir la source d’énergie nécessaire ! Ces cellules font partie des modules photovoltaïques les plus performants du marché.
Le silicium amorphe est un matériau moins coûteux à produire que le silicium monocristallin ou polycristallin. Il est utilisé dans des panneaux photovoltaïques souples ou intégrés à des surfaces non planes. Sa principale force réside dans son faible coût de fabrication, même si son rendement est inférieur à celui des autres types de cellules solaires.
Les cellules photovoltaïques organiques ou cellules solaires organiques utilisent des composés à base de carbone pour capturer l’énergie lumineuse. Elles sont légères, flexibles, et peuvent être fabriquées à bas coût sur de grandes surfaces. Leur efficacité est encore inférieure à celle des technologies à base de silicium, mais elles représentent une voie prometteuse pour des applications nomades ou des objets connectés.
Pour faire simple, si vous faites le choix de la cellule à homojonction son matériau est le silicium cristallin, son rendement peut être de moyen à élevé, d’une valeur de coût modéré. Appliquez-la sur vos toitures ou centrales solaires !
Pour les cellules à hétérojonction, composées de silicium cristallin ainsi que d’amorphe, le rendement sera très élevé mais le coût sera lui aussi, plus élevé. Appliquez-les sur les zones à haut rendement ou peu ensoleillées !
Concernant le silicium amorphe, composé d’elles-mêmes, le rendement sera faible, mais avec un coût attractif. Appliquez-le sur les objets mobiles et sur vos vitrages !
Enfin, pour les cellules photovoltaïques organiques, composées d’elles-mêmes, le rendement peut être, à la fois, plutôt faible et à la fois, moyen. Le coût de ces cellules est plus élevé que le silicium amorphe mais reste assez bas. Appliquez-les sur vos objets connectés et vos designs flexibles.
Une cellule solaire ou cellule photovoltaïque est un composant électronique capable de convertir directement l’énergie lumineuse en électricité. Ce phénomène est appelé effet photovoltaïque. Il repose sur les propriétés particulières des matériaux semi-conducteurs, tels que le silicium monocristallin, polycristallin, ou encore les fines couches à base de cuivre indium.
La cellule est construite autour d’une jonction entre deux couches de silicium traitées différemment. L’une est dopée pour contenir une charge négative (excès d’électrons), l’autre une charge positive (déficit d’électrons). Lorsqu’un photon frappe la cellule, il transfère son énergie à un électron, qui se libère et se met en mouvement, créant un courant électrique capté par un circuit extérieur.
Les matériaux semi-conducteurs sont essentiels pour la réussite de l’effet photovoltaïque. Le silicium cristallin, sous forme monocristalline ou polycristalline, reste le plus répandu grâce à sa disponibilité et son efficacité. D’autres solutions innovantes, comme la multi jonction ou les structures en pérovskite, permettent d’augmenter le rendement en captant un spectre lumineux plus large.
Les cellules photovoltaïques représentent bien plus qu’une simple technologie de production d’électricité. Elles incarnent une réponse concrète et durable aux enjeux énergétiques actuels. Grâce à la maîtrise des matériaux semi-conducteurs, à l’innovation constante des types de cellules photovoltaïques, et à des coûts de production en baisse, le solaire photovoltaïque devient une alternative incontournable, impactante et importante pour la transition écologique et environnementale. L’essayer, c’est l’adopter !
Adopter et investir dans cette technologie, c’est faire un choix à la fois économique, écologique et stratégique pour l’avenir ! La planète vous en remercie !
C’est un composant qui transforme la lumière du soleil en électricité grâce à l’effet photovoltaïque, utilisé notamment dans les panneaux solaires.
On distingue les cellules à homojonction, à hétérojonction, en silicium amorphe, organiques, et multi-jonction.
Parce qu’il est abondant, stable et possède d’excellentes propriétés semi-conductrices.
Le monocristallin est plus pur et offre un meilleur rendement, tandis que le polycristallin est moins cher à produire.
Pas encore autant que les cellules classiques, mais elles sont prometteuses pour des applications spécifiques grâce à leur flexibilité.
Oui, mais avec une efficacité réduite. Certaines technologies comme l’hétérojonction s’adaptent mieux aux faibles luminosités.
En moyenne entre 25 et 30 ans, avec un rendement qui peut diminuer légèrement au fil du temps.
Oui, de nombreuses parties d’un panneau sont recyclables, et des filières spécialisées se développent.